…Je le prévins aussi, que pour entrer en pays étranger où les vivres devaient nous arriver de si loin,
nous n'avions pas de chariots pour les conduire, car, dans notre armée, forte de plus de vingt mille hommes,
il ne se trouvait pas même cinquante chariots du roi.
Il me répondit qu'il en avait fait chercher à Bruxelles, et ces informations ayant fait taire
mes scrupules, nous marchâmes sur Rocroy, où, une fois la place reconnue,
on fit choix des attaques, qui commençèrent le soir même….
|